Je me sens vraiment chanceuse d’avoir grandi dans le meilleur des mondes : la ville et la campagne Mon père et mes grands-parents étaient originaires de Caledon, en Ontario, et je passais donc mes jours de semaine à Toronto pour aller à l’école et mes week-ends et vacances d’été à rendre visite à mes grands-parents à Caledon. Ils avaient souvent une vache ou un cheval dans leur pâturage, un coq dans leur cour et un jardin rempli de tous les légumes qu’un enfant peut aimer (et détester). st chez mes grands-parents que je suis tombée amoureuse de la nature : les fermes et la forêt, la rivière Credit, la moraine d’Oak Ridges et l’escarpement du Niagara. Mon père élevait des abeilles sur la propriété de mes grands-parents et maintenant j’en élève aussi.
J’ai suivi les traces de mon père (et de ma mère) d’une autre manière, en devenant enseignante, puis directrice d’une école secondaire au sein du conseil scolaire du district de Toronto. Lorsque j’étais dans l’enseignement, j’étais une ardente défenseure des programmes d’éducation en plein air et de l’éducation environnementale. J’ai continué à poursuivre cette passion au sein du CCPA dans mon travail avec les conseils scolaires et dans mon travail dans le domaine de la santé mentale.
J’adore faire des randonnées avec mon chiot, Henry, mon mari, David, mon fils, Tomas, et tous ceux qui veulent m’accompagner ! Je fais également de la raquette, de la planche à pagaie, du tennis, du vélo et de la natation.